Un événement qui s’attache aussi à Jiøíkovice se passa la veille de la Bataille des Trois Empereurs. Les représentants du village demandèrent une audience avec Napoléon pour le supplier d’épargner leurs vies et leur village au milieu du champ de bataille.

Des rumeurs répandus parlent d’une paysanne solliciteuse qui apporta du lait et quelque chose à manger. Nous ne savons pas si, q uand et comment cette rencontre se déroula. Il est possible qu’il s’agit d’une confusion avec une autre histoire un peu plus connue d’une espionne autrichienne qui apporta à Žuraò une cruche de lait pour en offrir à Napoléon. A ce qu’on dit ce fut une des dames d’honneur de comtesse Kounicova.

Cette légende corresponde à une toile d’un capitaine français, général après un certain temps, aide de camp du maréchal Berthier, commandant de l’état major général de l’armée napoléonienne. Ce Louis-François Lejeune peignit des gens aux pieds nus respectueux à l’égard de l’empereur. Ils sont bien habillés, bonnets de fourrure humblement dans les mains. Des chaussures abîmées durant la marche à Slavkov, des soldats leur prirent les leurs. La toile (nous trouvons sa découpure sur un timbre postal de Mali, pays d’Afrique) ne fut crée sur place, capitaine Lejeune utilisa probablement ses ébauches. Son paysage évoque les lieux autour de Santon près du village de Tvarozna. Il y a aussi la carrière et la petite chapelle mariale. Lejeune dût ses ébauches prendre d’un endroit à l’est de Tvarozna, nous le considérons d’après l’orientation du chemin de Brno à Vyskov. La rencontre put se dérouler ici mais il est aussi probable que le peintre français, témoin de la rencontre de l’Empereur et des paysans, inséra ces gens dans un paysage très authentique.