Paysanne sautillante

Des soldats français, pendant la fortification de Santon, eurent besoin du relais pour pouvoir aider leurs chevaux fatigués a tirer des canons dans leurs positions de tir. Ils entrerent en trombe dans la maison n. 22 et sans la possibilité de se faire comprendre l’un d’eux donnait des coups de latte dans une poutre de la cuisine. Les voici des années.



Des Français fouillaient des étables et des greniers pour y voler du fourrage pour leurs chevaux. Dans un bâtiment de Tvarozna il n’y avait qu’une mamie sourde. Ils crierent: Donne-nous de l’avoine, vieille sorciere ! (en tcheque : “ovsa”). La vieille comprenait mal. Au lieu de “ovsa” elle entendit “hopsa” (“hop” en français) et elle sauta le plus haut possible. Des soldats furent un peu surpris et alors ils comprirent que la vieille n’entendait pas bien. Ils lui montrerent leurs chevaux attachés a la clôture et ils mâcherent comme un cheval et enfin la vieille femme comprit.